- Table ronde à l'ADAGP le jeudi 25 septembre 2025 à 19h -
La question interroge le monde de l’art comme celui de la recherche – dans des domaines aussi divers que la neurologie, la médecine ou l’éducation : l’art est-il bon pour la santé ? À quelle fréquence et à quelle « dose » ?
Sarah Roshem, Pyke, Mont Saint-Michel 2019
© ADAGP, Paris, 2025 - Cliché : Sarah Roshem
Que l’on soit simple amateur d'art ou passionné, enfant ou adulte, psychiatre ou enseignant, l’œuvre engage physiquement et psychiquement ceux qui pratiquent comme ceux qui visitent. Dans les musées, les galeries, les ateliers et même dans la rue, notre connexion avec l'art, en fait, n’est jamais neutre... et nous soigne de bien des maux. Mais comment ? Que signifie au juste l’idée que l’art « nous fait du bien » ? Comment agit-il sur notre cerveau, nos émotions, notre capacité de résilience ? Et comment utiliser l'art au mieux dans une société du « care », à l'école, en entreprise ou dans les hôpitaux ?
Avec :
- Nathalie Bondil, muséologue et historienne de l’art, directrice du Musée et des Expositions, Institut du Monde Arabe, Paris
- Pierre Lemarquis, neurologue et neurophysiologiste
- Judith Ricard, éducatrice spécialisée en institut médico-éducatif (IME)
- Sarah Roshem, artiste et docteure en Art et Science de l’art
Une Causerie animée par Olivier Pascal-Moussellard, grand reporter à Télérama.
Un cocktail clôturera cette soirée.
Jeudi 25 septembre 2025 à l'ADAGP à 19h
11 rue Duguay-Trouin 75006 Paris
Métro : Saint-Placide (ligne 4), Rennes ou Notre-Dame des Champs (ligne 12)